Les exemples révèlent aussi quelque chose d’autre: le rythme auquel les entreprises doivent répondre aux nouvelles demandes continue de croître. Il fut un temps où l’espérance de vie moyenne d’une entreprise était de 75 ans. Maintenant, il est juste 15 (voir Hagel III2010). Et dans de plus en plus de cas, l’absence d’une stratégie de numérisation est le briseur d’affaire. Prenez Kodak, par exemple: Le spécialiste de la photo et de l’appareil photo comptait autrefois 140 000 employés et réalisait un chiffre d’affaires annuel d’environ 28 milliards de dollars américains. Kodak a manqué la transformation numérique et a finalement dû déclarer faillite. Parallèlement, une société de logiciels nommée Instagram est devenue la plus grande application de partage de photos numériques au monde – avec seulement 13 employés. Lorsque Instagram a été vendu à Facebook en 2012, il a coûté un milliard de dollars (voir Thun 2014).
La numérisation n’est pas un problème purement informatique. Il est stratégiquement important et essentiel pour les affaires. À la lumière de cela, lorsqu’il s’agit de la numérisation des processus de production (ce que l’on appelle les applications «Industrie 4.0»), la direction ou le comité exécutif est généralement responsable de la gestion des choses (voir Bitkom 2015). La numérisation est devenue un problème de gestion – comme il se doit.
Incidemment, cela s’applique aussi bien aux grandes entreprises qu’aux entreprises de taille moyenne – les Mittelstand – qui sont l’épine dorsale de l’industrie allemande. La chancelière allemande Angela Merkel estime que la question n’est pas encore suffisamment ancrée dans de nombreuses petites et moyennes entreprises (voir Fietz 2015). Elle a également souligné que la simple nomination d’un responsable informatique ne suffit pas, car l’impulsion doit provenir de la direction. Et elle a raison – après tout, les PDG sont ceux qui doivent s’assurer que leurs entreprises sont suffisamment agiles pour anticiper les changements et y réagir rapidement. Le PDG doit établir les paramètres de la numérisation afin que le service informatique puisse faire face aux nouvelles exigences.
La numérisation n’est pas un problème purement informatique. Il est stratégiquement important et essentiel pour les affaires. À la lumière de cela, lorsqu’il s’agit de la numérisation des processus de production (ce que l’on appelle les applications «Industrie 4.0»), la direction ou le comité exécutif est généralement responsable de la gestion des choses (voir Bitkom 2015). La numérisation est devenue un problème de gestion – comme il se doit.
Incidemment, cela s’applique aussi bien aux grandes entreprises qu’aux entreprises de taille moyenne – les Mittelstand – qui sont l’épine dorsale de l’industrie allemande. La chancelière allemande Angela Merkel estime que la question n’est pas encore suffisamment ancrée dans de nombreuses petites et moyennes entreprises (voir Fietz 2015). Elle a également souligné que la simple nomination d’un responsable informatique ne suffit pas, car l’impulsion doit provenir de la direction. Et elle a raison – après tout, les PDG sont ceux qui doivent s’assurer que leurs entreprises sont suffisamment agiles pour anticiper les changements et y réagir rapidement. Le PDG doit établir les paramètres de la numérisation afin que le service informatique puisse faire face aux nouvelles exigences.
Tout ce qui peut être numérisé sera numérisé, et tout ce qui peut être en réseau sera mis en réseau. Cela s’applique aux personnes, machines et produits ressemblent. Le logiciel devient de plus en plus un facteur de production décisif, car de ces machines en réseau doivent être contrôlées et toutes les données numériques doivent être stocké, traité et analysé de manière significative. Ainsi, les entreprises prospères de aujourd’hui aussi être – ou devenir – « sociétés de logiciels ». Et le logiciel vit dans
le nuage.
le nuage.
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